
Par Le Média en 4-4-2, le 6 décembre 2025
L'Union européenne a infligé une amende de 120 millions d'euros à X [ex Twitter] pour non-respect du Digital Services Act. Cette sanction arrive alors que les échanges entre Bruxelles et la plateforme se tendent de plus en plus autour de la modération et de la transparence.
Suivi de : Après l'amende de 120 millions, Musk lâche la bombe : "Abolissez l'Union européenne !" - et les Français disent merci
La Commission européenne a annoncé hier une sanction de 120 millions d'euros à l'encontre de X, la plateforme détenue par Elon Musk. Officiellement motivée par des questions de transparence - comme le système de coche bleue payante jugé trompeur ou l'accès limité aux données publicitaires -, cette pénalité sous le Digital Services Act (DSA) cache, pour beaucoup, une tout autre réalité : une punition parce que X résiste aux demandes de modération renforcée imposées par Bruxelles.
Depuis le rachat de Twitter par Musk, la plateforme a adopté une ligne ferme en faveur d'une liberté d'expression maximale, refusant souvent de supprimer des contenus que les autorités européennes qualifient d'"illégaux" ou de "désinformation". Ce choix a irrité les régulateurs du Vieux Continent, qui voient en X un obstacle à leur contrôle accru sur ce que les citoyens européens peuvent lire ou partager en ligne.
JD Vance dénonce une attaque contre la liberté d'expression
La veille même de l'annonce, le vice-président américain JD Vance avait anticipé la manœuvre sur X :
"Des rumeurs circulent selon lesquelles la Commission européenne va infliger des centaines de millions de dollars d'amende à X pour ne pas s'engager dans la censure. L'UE devrait soutenir la liberté d'expression au lieu d'attaquer des entreprises américaines pour des absurdités".
Elon Musk a immédiatement remercié Vance, soulignant le soutien de l'administration Trump face à ce qu'ils perçoivent comme une ingérence européenne.
D'autres voix outre-Atlantique, comme le secrétaire d'État Marco Rubio, ont qualifié cette amende d'"agression contre les plateformes tech américaines et le peuple américain". Pour eux, le DSA n'est qu'un outil déguisé pour forcer les géants du numérique à censurer plus activement, au détriment des utilisateurs européens.
Des précédents qui renforcent les soupçons : Telegram et GrapheneOS
Cette sanction s'inscrit dans une série d'actions européennes visant les plateformes qui privilégient la privacy et refusent la coopération totale avec les autorités.
- L'affaire Telegram : En 2024, Pavel Durov, fondateur de l'application de messagerie chiffrée, a été arrêté en France pour "manque de modération" face à des contenus illicites. Durov a depuis accusé les services français et européens de pressions répétées pour censurer des messages politiques, notamment lors d'élections en Moldavie ou en Roumanie. Telegram, refuge pour des échanges non surveillés, illustre parfaitement comment l'UE traque ceux qui protègent la confidentialité des citoyens.
- GrapheneOS fuit la France : Fin novembre 2025, ce système d'exploitation Android axé sur la sécurité et la vie privée a annoncé quitter le territoire français et rompre avec son hébergeur OVH. Motif ? Des craintes de demandes d'accès arrière (backdoors) au chiffrement, dans un contexte où la France pousse pour le " Chat Control", un projet européen de surveillance massive des messages privés sous prétexte de lutte contre les abus. GrapheneOS a jugé la France "dangereuse" pour les projets open source protégeant la confidentialité.
Ces exemples montrent un pattern clair : Bruxelles et ses États membres sanctionnent ou pressurisent les outils qui empêchent une censure généralisée. Pour les défenseurs de la liberté en ligne, l'amende contre X n'est pas une coïncidence, mais la suite logique d'une offensive contre tout ce qui échappe au contrôle étatique.
Vers un conflit transatlantique ouvert ?
Henna Virkkunen, vice-présidente de la Commission, a balayé les critiques en affirmant que "le DSA n'a rien à voir avec la censure". Pourtant, avec des enquêtes en cours sur la modération des contenus illégaux chez X, et des menaces de représailles commerciales venues de Washington, cette affaire risque d'envenimer les relations UE-USA.
Pour les Européens attachés à une parole libre, cette amende sonne comme un avertissement : acceptez la modération imposée, ou subissez les conséquences. Reste à savoir si X pliera, ou si cette bataille marquera un tournant dans la guerre pour le contrôle du numérique.
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Musk balance la bombe : « Abolish the EU » - le Frexit explose en 24h
Après l'amende de 120 millions, Musk lâche la bombe : "Abolissez l'Union européenne !" - et les Français disent merci
Par Le Média en 4-4-2, le 6 décembre 2025
Musk : "L'UE doit être abolie". En 24h le tweet devient viral, Asselineau et Philippot exultent, Wilders applaudit... Le Frexit n'a jamais été aussi proche. L'amende de trop ?
"L'UE devrait être abolie et la souveraineté rendue aux pays individuels, pour que les gouvernements représentent mieux leurs peuples". - Elon Musk, 6 décembre 2025
À peine Bruxelles a-t-elle signé l'amende de 120 millions d'euros contre X que Musk sort l'arme nucléaire. Un seul tweet, un hashtag #AbolishTheEU, et c'est la déflagration mondiale. En quelques heures : des millions de vues, des centaines de milliers de partages, et surtout une vague d'adhésions, les commentaires ne mentent pas... Le Frexit, hier encore moqué dans les salons parisiens, revient en force. L'erreur de trop des technocrates ? Probablement.
Ce que l'UE nous a volé en silence
Plus le temps passe, plus la colère monte. Et elle est légitime.
- Notre souveraineté : nos lois sont écrites à Bruxelles, votées par des commissaires non élus.
- Notre identité identité : diluée dans un melting-pot imposé où les nations deviennent de simples régions d'un empire technocratique.
- Notre liberté : censurée dès qu'elle dérange, comme l'amende contre X vient encore de le prouver.
- Nos frontières : grandes ouvertes, décidées entre Berlin et les ONG financées par Soros.
- Notre monnaie : l'euro, ce joug allemand qui enrichit les uns et étrangle les autres.
- Nos milliards : aspirés par l'Ukraine, ce tonneau des Danaïdes corrompu, pendant que nos hôpitaux ferment et que nos retraites fondent.
Chaque année dans l'UE nous rend un peu à peu esclaves. On n'est plus un pays, on est une province de l'Empire bruxellois.
Le déclic Musk : plus qu'un tweet, un séisme
En une phrase, l'homme le plus suivi, le plus massif de la planète a légitimé ce que des millions pensaient tout bas. Résultat immédiat :
- François Asselineau et son parti, qui prônent le Frexit depuis 18 ans, profitent d'un regain d'intérêt : "Musk propose la destruction de l'UE et le retour de chaque État à sa souveraineté nationale. Ce tweet est un tournant mondial. Écrivez à Musk pour le remercier !"
- Florian Philippot (Président des Patriotes) réagit : "Extraordinaire ! Un soutien de poids pour le FREXIT ! À bas l'UE ! Vive la France libre !"
- Viktor Orbán (Premier ministre hongrois) : L'attaque de la Commission contre X en dit long. Quand les seigneurs de Bruxelles ne peuvent pas gagner le débat, ils se tournent vers les amendes. L'Europe a besoin de liberté d'expression, et non de bureaucrates non élus décidant de ce que nous pouvons lire ou dire. Chapeau à Elon Musk de tenir bon.
- Pavel Durov : L'UE impose des règles impossibles afin de pouvoir punir les entreprises technologiques qui refusent de censurer silencieusement la liberté d'expression. Nous avons vu la même chose en France : une "enquête pénale" sans fondement, puis des services de renseignement proposant leur aide pour celle-ci, si Telegram censurait discrètement les discours en Roumanie et en Moldavie.
- Dmitry Medvedev (Vice-président du Conseil de sécurité russe) : Soutien clair et direct : "Exactement", en commentant le post de Musk sur X. Il approuve l'appel à abolir l'UE pour restaurer la souveraineté nationale, relayé par TASS et la Pravda. Ça a fait le tour des médias russes comme un alignement géopolitique.
- Geert Wilders (Membre de la Seconde chambre des États-Généraux des Pays-Bas) à propos du tweet d'Elon Musk : "Personne ne vous a élu [NDLR :Ursula von der Leyen et à la Commission européenne]. Vous ne représentez personne. Vous êtes une institution totalitaire et vous ne savez même pas épeler les mots 'liberté d'expression'. Nous ne devrions pas accepter l'amende contre X, mais abolir la Commission européenne".
- Alice Weidel (Co-leader AfD, Allemagne) : Post direct en réponse au tweet : "Sous la direction d'Ursula von der Leyen, une dictature numérique s'établit - la Stasi n'aurait pu rêver d'un tel pouvoir. Musk a raison : abolissons cette UE totalitaire !"
Le vrai patriote ne négocie plus avec le geôlier
Il n'y a plus de demi-mesure possible. Réformer l'UE de l'intérieur ? Un mensonge répété depuis 30 ans par les mêmes qui nous ont mis dans ce piège. La seule issue honorable, la seule issue digne, c'est la sortie. Frexit plein et entier. Récupérer nos lois, nos frontières, notre monnaie, notre destin.
Musk n'a pas inventé le souverainisme. Il l'a simplement rendu inévitable.
L'avenir nous dira si Bruxelles doublera la mise répressive ou si elle finira par plier. Mais une chose est déjà certaine : le vent commence à tourné. Et il souffle très fort du côté de la liberté des peuples.